Votre caisse enregistreuse sur iPad et iPhone
Acquérir du trafic via Internet. Vous entendez souvent cette phrase et pourtant, elle ne vous parle toujours pas. Pire, vous savez que c’est utile, mais vous ne savez pas par où commencer. Pas de panique, on vous livre les premiers points essentiels pour vous créer une visibilité sur la sphère 2.0. Autrement dit, on vous explique comment attirer le plus de clients possible dans votre commerce, grâce à l’intervention d’Internet.
Mais qui dit acquisition de trafic dit forcément présence digitale. Vous devez pouvoir créer, sur internet, un lieu où envoyer vos futurs clients. Pour débuter, rien de plus simple que de respecter, dans l’ordre, ces cinq étapes.
Que vous ayez ou non un budget à accorder à votre présence digitale, vous pourrez d’ores et déjà commencer par cette étape. Orientez-vous vers une solution gratuite, mais tout aussi indispensable, croyez-moi. Google My Business , (anciennement appelé Google Local), vous permettra de vous créer une “page entreprise”. Ce n’est pas un site à proprement parler, mais c’est tout aussi utile lorsqu’on sait que 99% des recherches en France, se font via le moteur de recherches Google. Mieux vaut donc que votre commerce y soit référencé !
Ce service gratuit, que propose Google, est une page entreprise qui se contentera de reprendre les mêmes informations qu’un site vitrine : nom et type de commerce (restaurant, fleuriste…), adresse, numéro de téléphone, et horaires d’ouverture de votre établissement. Votre commerce sera également géolocalisé sur Google Map (eh oui, la famille Google est une grande famille).
Cela peut signifier plusieurs choses pour vous, surtout lorsque l’on sait que 50% des recherches se font sur mobile. Vous allez me dire, où est le rapport ? Il est tout simplement dans le fait qu’un internaute proche de votre commerce, qui recherchera un restaurant, un fleuriste, un coiffeur autour de lui, verra apparaître votre commerce en point d’intérêt puisqu’il y sera référencé. Vous aurez donc plus de chances de recevoir des visites impromptues (et ça c’est plutôt cool, non?).
Bien évidemment, vous créer une page Google MyBusiness peut très bien être combiné à la création d’un site Web (et d’ailleurs, c’est fortement recommandé).
Partons d’une première hypothèse : vous n’avez pas de budget à investir pour la création de votre site Web. Vous avez pourtant bien compris l’enjeu d’en avoir un, comme augmenter la visibilité de votre commerce par exemple. Avec un peu de votre temps et d’huile de coude, vous pourrez vous-même vous créer un site internet, grâce à des solutions clés en main comme Wix , Simplébo, ou encore Strikingly. Aucune excuse donc, pour que votre commerce ait enfin un site tout beau, tout neuf !
Continuons sur une deuxième hypothèse : vous avez bien un budget pour la création d’un site Internet (mais peut-être pas de temps à consacrer). Certes, un site Internet représente un véritable investissement lorsque vous faites appel à une agence, mais à terme, il peut vous générer du trafic. Par conséquent, rassurez-vous, vous aurez bien votre retour sur investissement !
Vous pouvez d’ailleurs en choisir une spécialisée dans votre domaine qui aura l’avantage d’être moins onéreuse car elle vous proposera des offres spécialement conçues pour votre métier.
Bon gré, mal gré, on y coupe désormais plus, les réseaux sociaux font partie de notre vie professionnelle, autant que de notre vie privée. Si ce n’est pas encore fait, il est grand temps pour vous de vous créer un espace sur les médias sociaux !
Néanmoins, les créer et les utiliser ne fait pas tout. Encore faut-il correctement les utiliser. Pour faire une première bonne impression, il faut respecter le principe des 20-80, inspiré de la loi Pareto (non, non, promis, ce n’est pas compliqué). En fait, seulement 20% de vos publications doivent parler de votre commerce, et 80% de votre environnement.
Autrement dit, admettons que vous êtes un salon de coiffure, sur 10 posts Facebook, vous parlerez 2 fois de vos prestations/tarifs/actualités du salon, et 8 fois de la coiffure en général où votre salon n’est pas directement impliqué (les dernières coiffures à la mode, la couleur tendance du moment, la star avec la meilleure coupe…).
Les clients feront alors davantage confiance à un expert qui leur donnera des conseils, qu’il a lui-même testés et validés, sans que ce dernier ne parle constamment de son commerce. Ainsi, lorsqu’un internaute souhaitera la couleur tendance du moment qui a fait l’objet d’un de vos posts, il pensera à votre salon en premier. Submergé par les publicités, sachez que l’internaute fonctionne ainsi, il est en constante recherche d’informations qualifiées.
Avant tout, et quelque soit le type de commerce que vous dirigez, vous pouvez déjà vous dire que Facebook vous concerne. Très simple d’utilisation, ce média vous permettra autant d’échanger avec votre communauté que de les informer des dernières nouveautés dans votre commerce. Ayez pour ambition de publier une fois par jour sur ce réseau, pour interpeller votre communauté, sans trop la déranger.
Voilà deux réseaux sociaux qui ont le vent en poupe et qui vous permettront de partager des images, à la seule condition que ces dernières soient de bonne qualité (sinon, oubliez). Si votre commerce vise particulièrement les femmes, n’hésitez pas à utiliser Pinterest, un réseau très féminin puisque plus de 75% des abonnés sont des femmes.
De plus, si votre commerce produit visuellement de belles choses (fleurs, déco, coiffure, cuisine “fait maison”), vous avez toute votre place sur ces médias !
Vous pouvez faire appel à Youtube pour une vidéo de présentation de vos prestations par exemple. Ou plus dans l’air du temps, proposez des tutoriels. Vous savez, ce sont ces vidéos qui durent entre 1 et 10 minutes, où des experts (enfin, pas toujours) donnent des conseils sur un sujet choisi, en réalisant toutes les étapes devant la caméra. Le but étant que l’internaute puisse reproduire à l’identique, votre démonstration (culinaire, esthétique, etc.).
Vous pouvez ainsi fidéliser vos clients, mais surtout en acquérir de nouveaux, puisqu’ils vous auront connu et fait confiance à travers vos vidéos.
Nous arrivons à l’étape 3 de notre article. Et comme vous devriez déjà être un peu plus à l’aise avec votre présence digitale, on augmente (un peu) le niveau, avec la publicité sur Internet.
Pour ceux qui n’ont pas trop de temps (ni d’argent) à mettre dans la publicité de votre site Internet il existe Google Adwords Express . C’est en fait un système de publicité, dédié aux commerçants et petites entreprises, qui génère automatiquement des publicités en fonction des mots clés de votre activité.
Pas besoin d’être un as des campagnes, Google Adwords Express s’occupe de tout. Vous n’avez qu’à simplement définir votre budget qui permettra à votre commerce d’être visible en première page, et surtout parmi les premiers résultats des recherches associées aux mots clés. Et quand on sait que 70% des clics sont récupérés par les trois premières annonces, on se dit que finalement, la publicité sur internet, est plus que rentable ! Cela vous permettra donc de rendre visible votre business et surtout de drainer du trafic qualifié vers votre site Internet.
L’étape des réseaux sociaux vous a permis de vous créer une page professionnelle sur Facebook. Pourquoi ne pas aller plus loin en créant une publicité pour votre commerce, sur ce réseau qui compte plus d’1,3 milliard d’utilisateurs dans le monde ?
D’autant que les publicités Facebook sont diffusées auprès des utilisateurs en fonction de leur lieu, leur âge, leurs centres d’intérêt, etc. Vous pourrez donc facilement cibler le public de votre choix.
Et pour cela, rien de plus simple que de cliquez ici pour lancer votre première publicité Facebook.
C’est un fait, on n’y pense pas assez souvent, ou on ne les prend pas suffisamment au sérieux (ou les deux), comme on vous le disait déjà dans l’un de nos articles.
Pourtant, les blogueurs ont une influence considérable sur leur communauté et sont devenus le nouveau le bouche à oreille tendance du moment. Comme vous écoutez votre meilleur ami lorsqu’il vous conseille un super resto, les internautes font confiance aux blogueurs et n’hésitent pas à se rendre dans ces bonnes adresses communiquées !
Si vous êtes restaurateur par exemple, contactez par téléphone ou e-mail des blogueurs culinaires de votre région. Pour la plupart d’entre eux, ils seront toujours ravis de s’inviter à l’une de vos tables.
Cette partie va certainement vous réclamer un peu de budget et de temps, en particulier pour la conception et la diffusion de votre communiqué de presse (eh oui, qui dit contact avec la presse, dit communiqué).
Une fois que ce dernier est fraîchement terminé et prêt à se retrouver dans les mains de journalistes, rendez-vous sur une plateforme d’e-RP (Relation Presse en ligne) pour la diffusion massive de votre communiqué ! PressKing et Clicpresse, par exemple, pourront vous aider à cibler les journalistes spécialisés dans votre domaine et à vous accompagner dans votre démarche de communication auprès des médias.
Vous connaissez toutes et tous ces sites, car vous êtes les premiers à les utiliser: LaFourchette, Yelp, TripAdvisor… Ces plate-formes qui publient des avis, photos et conseils, drainent énormément de trafic. Votre objectif à vous sera donc d’être présent sur ces sites pour récupérer une part de ce trafic !
Yelp , quant à lui, permet davantage d’interagir avec vos clients. Vous pourrez ainsi directement répondre à leurs avis, tout en mesurant l’activité des visiteurs sur votre page pour, in fine, les transformer en clients.
Si vous êtes restaurateur, référencez-vous sur le site LaFourchette . Au delà du fait que le site vous permettra d’augmenter vos réservations, car plus de visibilité, vous allez pouvoir recueillir les avis de vos clients et vous construire ainsi une e-réputation.
Votre e-réputation est primordiale et se façonne notamment avec les avis et les publications de vos clients, trouvés sur le net. Voilà pourquoi vous devez nécessairement chouchouter vos clients !
Jeff Bezos, P-DG d’Amazon résume assez bien cette idée : “Si vous rendez vos clients mécontents dans le monde réel, ils sont susceptibles d’en parler chacun à six amis. Sur Internet, vos clients mécontents peuvent en parler chacun à 6 000 amis.”